Le PAYS DE GALLES était une fois de plus redevable à Gareth Bale alors que l’ancienne star du Real Madrid et de Tottenham a marqué un point contre les États-Unis.
L’équipe de Rob Page a riposté d’un but de Timothy Weah jusqu’à gagner une part du butin grâce à Ballefrappe depuis le point de penalty.
Le joueur de 33 ans a été victime d’une faute dans la zone par Walker Zimmerman et il s’est dépoussiéré pour tirer puissamment à la maison depuis l’endroit.
Le Pays de Galles a réussi à renverser la vapeur après une ouverture terne 45 – mais Page a du travail à faire avant son prochain match contre l’Iran – même si L’Angleterre les a battus 6-2.
Voici comment Jordan Davies de SunSport a évalué le Gallois…
WAYNE HENNESSEY – 6
A bien fait d’empêcher Joe Rodon de tirer devant lui à bout portant avec un excellent arrêt de réaction, mais n’a rien pu faire pour empêcher la frappe de Tim Weah en première mi-temps.
En dehors de cela, sa distribution était médiocre avec le ballon sur le pont, pas qu’il ait beaucoup touché le ballon en seconde période.
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BEN DAVIES – 6
A fait de son mieux pour faire avancer les choses depuis l’arrière, en vain.
Était alors à quelques centimètres de donner au Pays de Galles la tête avec sa meilleure chance, une tête plongeante basculée au-dessus de la barre par Matt Turner.
JOE RODON – 6
Presque dirigé le ballon devant son propre gardien, mais pour un incroyable arrêt réflexe de son gardien pour empêcher le centre de volée de Tim Weah de se détourner.
Était une présence plus apaisante après la pause, mais à ce moment-là, il était trop tard.
CHRIS MEPHAM – 5
Regardé un peu hors de sa profondeur en essayant d’arrêter Christian Pulišić dominer le jeu à droite du Pays de Galles et a fini par écoper une réservation pour un tir de chemise sur l’homme de Chelsea.
Mepham aurait sans doute dû faire plus pour arrêter Pulisic comme l’a glissé Tim Weah.
CONNOR ROBERTS – 6
Envoyé en tant qu’ailier arrière, il a fini par camper dans sa propre moitié, luttant pour s’aventurer sur le terrain pour déclencher toute sorte de menace.
Fouetté dans quelques croix invitantes plus tard avec peu ou pas de cibles à choisir.
ETHAN AMPADU – 7
Arrêté quelques contre-attaques américaines avec quelques défis opportuns au milieu de terrain, et était sans doute leur meilleur joueur sur le terrain pour de grandes parties.
Mais en regardant la performance du Pays de Galles dans son ensemble, cela ne dit pas grand-chose.
AARON RAMSEY – 5
Le EX-Arsenal Les erreurs stupides de l’homme et sa maladresse sur le ballon ont permis au Pays de Galles de lutter pour maîtriser la procédure tout au long de la première mi-temps.
A continué à déjouer les attaques galloises pour des touches lourdes juste après la pause. Une soirée off pour l’un de leurs héros de l’Euro 2016.
NÉCO WILLIAMS – 6
Travaillé dur mais en vain, et a été laissé à la poursuite de la poussière de Tim Weah essayant désespérément et échouant de l’empêcher de convertir ses efforts.
A été autorisé à avancer davantage avec le temps qui passe et a fait plus que la plupart pour aider à saisir un égaliseur.
HARRY WILSON – 4
Assez anonyme dans un large rôle flottant, et beaucoup ont été surpris de le voir sortir du tunnel pour la seconde mi-temps.
Il n’a pas fait grand-chose pour donner raison à son manager, dérivant apparemment à travers le concours jusqu’à ce que son temps additionnel soit remplacé.
DAN JAMES – 5
Était censé donner aux hommes de Rob Page du rythme et une menace sur le comptoir au milieu, mais n’a réussi ni l’un ni l’autre.
Pourtant, son remplacement à la mi-temps était dur et aurait pu offrir plus avec le bon service si on lui avait donné la chance de le faire.
GARETH BALE – 8
A peine influencé le match dans les 45 premières minutes, et ses frustrations étaient évidentes alors qu’il venait profondément pour gagner un tacle seulement pour recevoir une réservation sévère.
Semblait tout aussi léthargique en seconde période, sans rien essayer de se détacher, mais a montré des nerfs d’acier pour tirer dans la pénalité d’égalisation tardive.
SOUS
KIEFFER MOORE (WILSON, 45) – 7
A instantanément fait l’impact prévu, tenant le ballon et mettant ses coéquipiers en jeu, donnant enfin à Tim Ream quelque chose à penser.
Presque lancé un en-tête de poteau proche depuis un coin uniquement pour dégager la barre.


BRENNAN JOHNSON (N WILLIAMS, 79) – N/A
Entré avec peu de temps pour impressionner, mais obtient sûrement une course contre l’Iran après s’être rapproché d’un angle serré avec quelques minutes à jouer.