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Sunderland (4-2-3-1): Patterson; Roberts, Hume, O’Nien, Gooch; Neil, Ekwah; Diallo, Pritchard, Clarke; Gelhardt. Subs: Bass, Lihadji, Ba, Anderson, Michut, Alese, Huggins.
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Oh man, how not to love the playoffs. Games split by days not a week, a whole year’s work on the line, and wildness almost guaranteed. It doesn’t happen often, but the football authorities do, occasionally, make decent decisions – though, let’s be real, if the side finishing fourth-bottom of the Prem were in this fighting for survival, this would be even more exciting.
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Luton are a ridiculous story, in the Conference as recently as 2013-14 following a 30 point deduction for financial irregularities – on the part of owners who should never have been allowed to buy the club – sent them down in 2008-09. Since then, though, they’ve got shot of bad owners and returned to the family ethos that served them so well in the 80s, steadily improving to arrive at this point and still playing in their division’s smallest, most archaic ground. They’re expecting to go up this season but if they don’t, they plan to soon..
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Sunderland, meanwhile, a Premier League club in all but name, were only promoted into the Championship last season – ending a Wembley hoodoo in the process –and will be as surprised as they are delighted to find themselves in this position. And for that, credit must go to Terrknee Merrbrehy, who not only has the best name to say in a north-eastern accent but has cobbled together a team of youthful intensity and innocent enterprise that it’s impossible not to enjoy. If they don’t go up now, they could run away with it next season
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Saturday’s first leg was an extremely enjoyable affair, Luton the better side early on and well worth their early lead, just as Sunderland more than earned their eventual 2-1 win. Given their lack of defenders, though, there’s every chance the home side overturn the deficit … but given their surfeit of attackers, it’s equally likely they put the tie away. This is going to be great.
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Kick-off: 8pm BST
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Les évènements clés
Luton cherchera, j’en suis sûr, à profiter de la situation défensive de Sunderland. Leurs deux attaquants pourraient presque être conçus pour intimider Hume et O’Nien, le problème étant que leur formation d’ailier arrière pourrait les laisser en infériorité numérique. En particulier, Roberts et Amad sur la droite de Sunderland pourraient signifier beaucoup de problèmes pour Cody Drameh et Gabriel Osho.
Je dis ces arrangements de ce dont ils disposent parce que les quatre arrières de Sunderland sont pour le moins improvisés. Patrick Roberts est un ailier et Lynden Gooch est un ailier ou un ailier arrière, tandis que Luke O’Nien et Trai Hume ne sont pas exactement des défenseurs centraux spécialisés. Cependant, en attaque, ils peuvent endommager n’importe quelle équipe, donc le rôle de Pierre Ekwah et Dan Neil pour protéger les hommes derrière eux et nourrir ceux qui sont devant sera crucial.
Ces deux côtés sont inchangés, ce qui est logique. Les deux gestionnaires sont satisfaits de ces arrangements de ce dont ils disposent.
Faisons des équipes…
Ville de Luton (3-5-2): Horvat; Osho, Lockyer, Bell ; Drameh, Ruddock, Nakamba, Clark, Doughty ; Morris, Adebayo. Sous-titres : Shea, Potts, Berry, Burke, Campbell, Onyedinma, Taylor.
Sunderland (4-2-3-1) : Patterson ; Roberts, Hume, O’Nien, Gooch ; Neil, Ekwah; Diallo, Pritchard, Clarke ; Gelhardt. Sous-titres : Bass, Lihadji, Ba, Anderson, Michut, Alese, Huggins.
Préambule
Oh mec, comment ne pas aimer les séries éliminatoires. Des jeux divisés par jours et non par semaine, une année entière de travail sur la ligne et une folie presque garantie. Cela n’arrive pas souvent, mais les autorités du football prennent parfois des décisions décentes – cependant, soyons réalistes, si l’équipe terminant quatrième du Prem était dans ce combat pour sa survie, ce serait encore plus excitant.
Luton est une histoire ridicule, dans la Conférence aussi récemment qu’en 2013-14 suite à une déduction de 30 points pour irrégularités financières – de la part de propriétaires qui n’auraient jamais dû être autorisés à acheter le club – les a renvoyés en 2008-09. Depuis lors, cependant, ils ont tiré sur de mauvais propriétaires et sont revenus à la philosophie familiale qui les a si bien servis dans les années 80, s’améliorant régulièrement pour arriver à ce point et jouant toujours sur le terrain le plus petit et le plus archaïque de leur division. Ils s’attendent à monter cette saison, mais s’ils ne le font pas, ils prévoient de le faire bientôt.
Sunderland, quant à lui, un club de Premier League à part le nom, n’a été promu au championnat que la saison dernière – mettant fin à un hoodoo de Wembley dans le processus – et sera aussi surpris que ravi de se retrouver dans cette position. Et pour cela, le mérite doit revenir à Terrknee Merrbrehy, qui a non seulement le meilleur nom à dire avec un accent du nord-est, mais a bricolé une équipe d’une intensité juvénile et d’une entreprise innocente qu’il est impossible de ne pas apprécier. S’ils ne montent pas maintenant, ils pourraient s’enfuir la saison prochaine
Le match aller de samedi a été une affaire extrêmement agréable, Luton était la meilleure équipe au début et valait bien son avance, tout comme Sunderland a plus que mérité sa victoire 2-1. Compte tenu de leur manque de défenseurs, cependant, il y a toutes les chances que l’équipe locale renverse le déficit… mais compte tenu de leur excès d’attaquants, il est tout aussi probable qu’ils mettent l’égalité de côté. Ça va être très bien.
Coup d’envoi: 20h00 BST
