Certains transferts aux sommes parfois astronomiques se transforment en véritables fiascos. Retour sur ces recrutements complètement ratés.
En période de mercato, de nombreux clubs européens s’activent pour dénicher l’oiseau rare sur le marché des transferts. Un exercice qui n’est pas sans risques. Difficultés d’adaptation, baisse de forme physique, blessures, conflit avec l’entraîneur… Le recrutement d’une supposée vedette se transforme régulièrement en ratage complet. Et la pilule est encore plus difficile à encaisser lorsque la somme engagée pour le transfert se chiffre en dizaines de millions d’euros ! Le PSG (35 millions d’euros pour Nicolas Anelka en 2000), Chelsea (45 millions d’euros pour Andreï Chevtchenko en 2006, 58 millions d’euros pour Fernando Torres en 2011), la Lazio Rome (48 millions d’euros pour Gaizka Mendieta en 2001) ou, plus récemment, Manchester United (75 millions d’euros pour Angel Di Maria en 2014), en ont fait l’amère expérience ces dernières années.
Dans d’autres cas, l’investissement n’est pas aussi conséquent mais la déception est à la hauteur des espoirs placés dans le joueur recruté. En recrutant Patrick Kluivert en 2007, le LOSC se félicitait par exemple de “sa signature et sa confiance dans le projet lillois” qui témoignaient “de l’envergure européenne croissante prise par le club au fil des saisons”. Dix mois et quatre petits buts plus tard, l’attaquant hollandais fera ses valises pour l’AZ Alkmaar. Les supporters nantais, plutôt conquis par l’arrivée de Fabien Barthez en 2008, ont également vite déchanté, l’ancien gardien des Bleus quittant même le club avant la fin du championnat, à la suite d’une altercation supposée avec des supporters après un match perdu contre Rennes. Découvrez l’ensemble de ces transferts ratés en cliquant sur l’image ci-dessus.